Elise Sanguinetti a été présentée en couverture du Daily Journal dans un article mettant en lumière sa quête pour éradiquer le langage raciste de l’époque de Jim Crow des accords de propriétaires en Californie.
Un langage horrible et raciste apparaît dans des milliers d’accords à travers la Californie. Par exemple, un accord de propriétaire datant de 1948 contient une partie très intéressante dans le contrat. Niché entre un point indiquant qu’aucun “commerce nocif ou offensant” ne doit être exercé sur la propriété et un autre indiquant qu’aucune remorque ou cabane illégale ne peut être sur la propriété, on trouve ce qui suit :
“Aucune personne autre que celle de race caucasienne ne peut utiliser ou occuper un bâtiment sur un lot, sauf si cette convention n’empêche pas l’occupation par des domestiques d’une race ou nationalité différente employés par un propriétaire ou locataire.”
Un accord séparé mais similaire indiquait : “Aucun Africain, Mongol, Japonais ou personne d’ascendance africaine, mongole ou japonaise ne sera autorisé à acheter, posséder ou louer la propriété…”
La Californie a tenté de résoudre ces types de clauses dépassées et illégales, mais les formalités bureaucratiques nécessaires pour les éliminer sont difficiles.
Mme Sanguinetti, associée fondatrice chez Arias Sanguinetti Wang & Team et ancienne présidente de CAOC et AAJ, travaille bénévolement pour aider les propriétaires, les associations de propriétaires et d’autres à éliminer enfin ce type de langage désuet, raciste et répugnant. Le processus n’est pas coûteux, mais peut être lourd en termes de procédure.
Pour lire l’article complet du Daily Journal, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous :
DJ – La mission d’un avocat pour éradiquer les conventions racistes